Mercredi
31 décembre
2025
21 h 00 Vigiles de la Mère de Dieu
prière communautaire : psaumes, lectures…
22 h 15 Adoration eucharistique
contemplation silencieuse
23 h 30 Messe pour confier la nouvelle année
Chacun arrive et repart quand il veut !
Il est possible de dormir sur place : réserver son séjour
(*) La retraite débute le 28 décembre au soir mais il y a la possibilité d’arriver en cours de retraite, au jour et à l’heure qui vous conviennent.
Dans ce cas, une « porte d’entrée » est aménagée pour ceux qui arrivent en cours de retraite pour permettre à chacun de vivre au mieux ce temps.
« Jésus est un maître itinérant dont la pauvreté et la précarité sont le signe de son lien avec le Père, et qui sont exigées aussi de ceux qui veulent le suivre sur le chemin du disciple, précisément pour que le renoncement aux biens, aux richesses et aux sécurités de ce monde devienne un signe visible de l’abandon à Dieu et à sa providence. »
(Léon XIV, L’amour envers les pauvres, n° 20)
Toute la vie de Jésus nous révèle un Messie pauvre, il se présente à nous comme le Messie des pauvres et pour les pauvres. L’existence de Jésus, c’est d’abord sa naissance dans la pauvreté que nous contemplerons plus particulièrement durant cette retraite.
C’est ainsi que notre cœur se convertira pour que nous nous rendions plus proche des pauvres et reconnaissions en eux le visage du Christ. La proximité avec ceux qui n’ont ni pouvoir ni grandeur est une manière fondamentale de reconnaître la présence de Dieu dans notre histoire.
Cette retraite intègre une veillée de prière durant la nuit du 31 décembre pour entrer dans la nouvelle année.
L’exhortation du pape Léon Dilexi te – Je t’ai aimé – souligne le lien étroit qui existe entre l’amour du Christ et son appel pour nous, à être proches des pauvres. La centralité de l’amour pour les pauvres est, en effet, au cœur même de l’Évangile : « l’affection envers le Seigneur s’unit à celle envers les pauvres. » (n° 5)
L’amour des pauvres n’est pas une « voie facultative », mais représente « le critère du vrai culte ». En vertu de ce lien, chaque baptisé est appelé à s’engager concrètement pour la défense et la promotion des plus faibles : « Il incombe donc à tous les membres du Peuple de Dieu de faire entendre, même de différentes manières, une voix qui réveille, qui dénonce, qui s’expose même au risque de passer pour des “idiots”. » (n° 97)
Chaque retraite est rythmée par :
Ces retraites sont indépendantes.
L’animation est assurée par la communauté des bénédictines.
3 jours
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Jésus, Messie pauvre et humble
dimanche 28 décembre – jeudi 1er janvier 2026 (14 h)
Dans son exhortation le pape Léon nous invite à contempler la pauvreté et la précarité de Jésus, signe de son lien avec son Père (cf n° 20). Toute la vie de Jésus nous révèle un Messie pauvre, il se présente à nous comme le Messie des pauvres et pour les pauvres. L’existence de Jésus, c’est d’abord sa naissance dans la pauvreté que nous contemplerons plus particulièrement durant cette retraite.
C’est ainsi que notre cœur se convertira pour que nous nous rendions plus proche des pauvres et reconnaissions en eux le visage du Christ. La proximité avec ceux qui n’ont ni pouvoir ni grandeur est une manière fondamentale de reconnaître la présence de Dieu dans notre histoire.
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1 journée
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Convertir notre aumône envers les pauvres
samedi 7 mars 2026 (9 h – 18 h)
Sans doute la pratique de l’aumône n’a pas bonne réputation aujourd’hui, mais le pape Léon nous invite à nous réapproprier cette pratique et à la vivre avec une conversion du cœur.
Tout en reconnaissant qu’elle ne sera pas la solution à la pauvreté dans le monde, nous n’avons pas à renoncer à vivre l’aumône car il vaut toujours mieux faire quelque chose que ne rien faire. Ainsi, l’aumône permet de ne pas rester dans le monde des idées, et représente un moment authentique de rencontre et d’identification à la condition d’autrui».
Et le pape d’ajouter : « Dans tous les cas, cela touchera notre cœur. » (n° 119).
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2 jours
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Accueillir le pauvre comme le Christ
samedi 18 avril (9 h) (*) – dimanche 19 avril 2026 (16 h)
« On reçoit les pauvres et les étrangers avec le plus grand soin et la plus grande attention. En effet, c’est surtout à travers eux qu’on reçoit le Christ. » (Règle de Saint Benoît, n° 53)
Rappelant la place prépondérante de l’accueil des pauvres et des pèlerins, le pape Léon affirme : « L’hospitalité monastique bénédictine reste encore aujourd’hui le signe d’une Église qui ouvre ses portes, qui accueille sans demander, qui guérit sans rien exiger en retour. » (Dilexi te n° 55)
À l’école de Saint Benoît nous sommes interrogés sur cette dimension de l’accueil du pauvre et du petit, personnellement et en communauté.
(*) possibilité d’arriver la veille au soir
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L’exhortation du pape Léon Dilexi te souligne le lien étroit qui existe entre l’amour du Christ et son appel pour nous, à être proches des pauvres. La centralité de l’amour pour les pauvres est, en effet, au cœur même de l’Évangile : « l’affection envers le Seigneur s’unit à celle envers les pauvres. » (n° 5)
L’amour des pauvres n’est pas une « voie facultative », mais représente « le critère du vrai culte ». En vertu de ce lien, chaque baptisé est appelé à s’engager concrètement pour la défense et la promotion des plus faibles : « Il incombe donc à tous les membres du Peuple de Dieu de faire entendre, même de différentes manières, une voix qui réveille, qui dénonce, qui s’expose même au risque de passer pour des “idiots”. » (n° 97).
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Nous proposons durant l’année plusieurs temps de retraite pour s’approprier intérieurement cet appel à travers la méditation de la Parole de Dieu, le silence et l’échange, et y répondre concrètement, chacun à sa mesure. Ces propositions sont indépendantes les unes des autres. |
3 jours
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Dans son exhortation le pape Léon nous invite à contempler la pauvreté et la précarité de Jésus, signe de son lien avec son Père (cf n° 20). Toute la vie de Jésus nous révèle un Messie pauvre, il se présente à nous comme le Messie des pauvres et pour les pauvres. L’existence de Jésus, c’est d’abord sa naissance dans la pauvreté que nous contemplerons plus particulièrement durant cette retraite.
C’est ainsi que notre cœur se convertira pour que nous nous rendions plus proche des pauvres et reconnaissions en eux le visage du Christ. La proximité avec ceux qui n’ont ni pouvoir ni grandeur est une manière fondamentale de reconnaître la présence de Dieu dans notre histoire
1 journée
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Sans doute la pratique de l’aumône n’a pas bonne réputation aujourd’hui, mais le pape Léon nous invite à nous réapproprier cette pratique et à la vivre avec une conversion du cœur.
Tout en reconnaissant qu’elle ne sera pas la solution à la pauvreté dans le monde, nous n’avons pas à renoncer à vivre l’aumône car il vaut toujours mieux faire quelque chose que ne rien faire. Ainsi, l’aumône permet de ne pas rester dans le monde des idées, et représente un moment authentique de rencontre et d’identification à la condition d’autrui». Et le pape d’ajouter : « Dans tous les cas, cela touchera notre cœur. » (n° 119).
2 jours
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« On reçoit les pauvres et les étrangers avec le plus grand soin et la plus grande attention. En effet, c’est surtout à travers eux qu’on reçoit le Christ. » (Règle de Saint Benoît, n° 53)
Rappelant la place prépondérante de l’accueil des pauvres et des pèlerins, le pape Léon affirme : « L’hospitalité monastique bénédictine reste encore aujourd’hui le signe d’une Église qui ouvre ses portes, qui accueille sans demander, qui guérit sans rien exiger en retour. » (Dilexi te n° 55)
À l’école de Saint Benoît nous sommes interrogés sur cette dimension de l’accueil du pauvre et du petit, personnellement et en communauté.
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Une grande méditation sur le mystère pascal nourrie par les offices et différents exposés.
Possibilité de loger sur place ou de venir seulement pour les offices et les exposés.
Trois jours de retraite pour laisser le Christ nous rejoindre à travers la méditation de la Parole de Dieu (temps de prière personnelle et communautaire) et la contemplation de la création (randonnée en groupe).
En complément de la prière communautaire avec les moniales et de la messe, chaque matin sont données des pistes pour prier l’évangile du jour. En fin d’après-midi, nous ouvrons une porte d’entrée différente chaque jour : les psaumes, la Règle de saint Benoît, la lectio divina, des repères sur la foi, l’adoration eucharistique, l’articulation entre la vie et la foi.
Chaque retraitant s’inscrit pour la durée qu’il souhaite et participe à ce qu’il veut durant son séjour.
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Après l’office des Laudes, présentation d’un psaume pour nourrir un temps de prière personnelle avant la messe. Possibilité de poursuivre l’après-midi en participant à l’atelier Calligraphie, sur le même psaume. Voir le contenu
Lecture spirituelle de l’évangile du dimanche. Voir le contenu
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À partir de la notion de non-violence, nous parlerons de communication bienveillante : écouter ses besoins, rencontrer l’autre.
Autrement dit : apporter la paix dans nos relations, les transformer en favorisant la communication entre nous !
Durant cette session une pédagogie basée sur des rappels simples, des échanges et des exercices, sera mise en œuvre, favorisant pour chacun l’exercice de la Communication Non Violente.
Si pour chacun il est clair que le calendrier des fêtes juives puis chrétiennes présente proximité, et ressemblance, si la chronologie les met dans une continuité et si le cadre géographique du monde de la Bible leur est commun, la signification de ces célébrations s’avère procéder de démarches certainement différentes.
Devenues avec le temps témoignages du passé et jalons d’une aventure spirituelle au mieux, rituelle formaliste au pire, on oublie que pour la tradition juive, il s’agit de la rencontre, qui beaucoup plus que d’un rappel d’événements symboliques, nous invite à devenir les témoins du futur, en nous ouvrant au Tiqoun Olam, la réparation du monde !
Cette session nous emmènera dans un approfondissement de l’évangile de Marc pour redécouvrir l’actualité de cet homme hors du commun qu’est Jésus de Nazareth.
Cette lecture se fera à travers le prisme de la non-violence. Comment Jésus nous apprend à vivre notre violence et à développer notre non-violence, à changer notre regard sur nous-mêmes et sur les autres.
Cette session offrira l’occasion de lire un évangile dans son ensemble et d’en saisir les articulations, ainsi que la richesse de sa réflexion, au moyen d’apports et d’échanges.
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« Plus que tout autre, le calligraphe est celui qui entend et fait entendre le silence de l’écriture. » (Anne Zali)
Venir à cet atelier pour apprendre ou approfondir l’art de la « Belle Écriture », pour donner une qualité visuelle à la Parole de Dieu et s’en émerveiller.
Cet atelier se déroule les mêmes samedis que les haltes spirituelles Au fil des psaumes. Il est ainsi possible de le vivre comme la suite de la découverte du psaume prié le matin. Voir le contenu
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Session biblique
du mardi 8 juillet 2025 (9 h)
au samedi 12 juillet (14 h)
Animation :
La Conversion de saint Paul – Parmigianino
« Paul accomplissait son ministère
avec fidélité et avec joie,
« pour en sauver à tout prix
quelques-uns » (1 Co 9, 22).
Telle demeure la mission
de tous les apôtres du Christ
à toutes les époques :
être les collaborateurs
de la joie véritable ! »
(Benoît XVI)
De l’histoire, de la géographie, mais aussi des liens avec les Epîtres, une approche de Paul, prédicateur inlassable de l’Évangile. Lors de ses voyages missionnaires, Paul aide les jeunes croyants à créer des communautés de disciples. Quand cela lui est possible, il leur rend visite pour les encourager et les affermir. Sans que rien ne l’arrête il est désireux de témoigner de Jésus-Christ en actes et en paroles.
Durant cette session, en complément de l’apport biblique qui est donné, la lecture du texte biblique et l’échange entre les participants permettront de découvrir avec plus de relief la figure de Paul et son sens missionnaire.
La session est rythmée par : Les Amis de l’Abbaye
Au choix :
lundi 14 juillet (19 h)
– vendredi 18 juillet 2025 (14 h)
lundi 18 août (19 h)
– vendredi 22 août 2025 (14 h)
Pèlerins d’espérance
« Tout le monde espère. L’espérance est contenue dans le cœur de chaque personne comme un désir et une attente du bien, bien qu’en ne sachant pas de quoi demain sera fait.
Voilà pourquoi l’espérance ne cède pas devant les difficultés : elle est fondée sur la foi et nourrie par la charité. Elle permet ainsi d’avancer dans la vie »
Benoit XVI
L’homme est cet être qui a « l’audace d’espérer », et d’espérer au-delà même des limites de cette existence terrestre. L’espérance n’est pas une chose, elle n’est pas plus un avenir, elle est quelqu’un de vivant aujourd’hui. Jésus Christ est « notre espérance » (1 Tm 1,1).
L’espérance ne nous dégage ni du présent, ni de la réalité. Elle se vit au quotidien, nourrie de la promesse de vie que Dieu veut pour nous.
Telle est notre vocation de croyant : marcher ensemble, éclairés par la lumière de l’Évangile, vers la plénitude de la vie en Dieu. Comme Abraham quittant son pays pour une terre promise, comme les disciples sur la route d’Emmaüs, nous sommes tous appelés à être des pèlerins, confiants dans l’espérance qui ne déçoit pas
Durant cette retraite, à travers la méditation de la Parole de Dieu et la contemplation de la beauté de la création, nous laisserons le Christ cheminer avec nous et nous avec lui.
Chaque journée est rythmée par :
Les randonnées [ mardi et mercredi en après-midi ; jeudi en journée ] sont accessibles à tous et aménagées en fonction du groupe.
Ceux qui jouent d’un instrument de musique peuvent l’apporter !
Frais (adaptables en fonction des possibilités financières de chacun)
« Écoute ! » Tout au long de l’histoire biblique Dieu adresse à son peuple cet appel pressant : « Prêtez l’oreille et venez à moi, écoutez et vous vivrez » (Is 55, 3).
Lorsque la parole dite est au service de la vie, alors l’écouter ouvre à l’obéissance (obéir – ob-audire – se mettre sous la parole d’un autre).
Obéir, c’est être attentif à la façon dont cette parole incline notre cœur pour inventer librement la façon concrète d’y répondre par nos actes et nos paroles.
Cette liberté intérieure donne à notre vie son élan joyeux.
« Écoute ! » Telle est l’invitation que saint Benoît adresse à son disciple au début de sa Règle, reprenant et développant ce chemin intérieur proposé à tous, et pas seulement à ceux qui sont engagés dans la vie monastique.
La parole écoutée avec confiance et reçue humblement dans l’obéissance engage notre vie comme réponse concrète vécue dans la joie.
Si nous restons toujours ouverts dans la confiance nous pourrons avancer sur le chemin de la vie, encouragés la dernière parole que saint Benoît nous adresse dans sa règle : « Tu parviendras. »
(*) La retraite débute à 9 h mais il est possible d’arriver quand on veut dans la journée du vendredi. L’entrée dans la retraite est alors personnalisée.
Déroulement de la journée du vendredi pour prévoir son arrivée :
« Le Seigneur attend de nous ceci : que, jour après jour, nous répondions par nos actes à ses bons conseils. »
(Règle de Saint Benoît, Prologue)
Dieu ne parle que pour se donner et l’écouter, c’est se donner à lui en retour, en réponse.
L’obéissance à sa parole est avant tout acte de foi. Voie étroite puisqu’elle nous introduit dans la réalité d’une relation vivante, concrète avec Dieu, ici et maintenant. Dieu ne fait rien sans notre consentement mais avec Lui tout devient possible.
Être disciple, c’est apprendre de lui ce pas à pas qui dilatera notre cœur quand nos réactions cherchent à nous ramener et nous réduire à nos petits côtés.
C’est ainsi que grandit en nous la liberté intérieure à laquelle nous sommes appelés.
La retraite est animée par des moniales de la communauté
Les journées
Cithare de printemps
animées par
Maguy Gérentet
« Que mon cœur ait la joie de ton salut ! »
Ps 12, 6
Cheminer avec le Christ durant sa passion
Vivre à mon rythme une démarche personnelle avec le Christ, en le suivant durant sa passion
Me laisser nourrir par la prière liturgique à travers les offices et les célébrations
Favoriser le silence extérieur pour développer un climat d’intériorité, à l’écoute de ce que Dieu veut me dire
Chaque proposition est introduite par une sœur de la communauté
Les propositions sont indépendantes les unes des autres pour permettre à chacun de choisir sa démarche
à 16 h 30 : Méditation des textes de la Célébration de la Cène
soutenue par des pistes de prière pour accueillir le texte avec tout son cœur
à 11 h : Contemplation de peintures de la passion du Christ
guidée par quelques suggestions pour chaque tableau
à 11 h : Écoute de plusieurs psaumes
alternée par des temps de silence pour prolonger la prière du psaume
à 16 h : Intériorisation de plusieurs aspects de la veillée pascale
Il est possible de venir ponctuellement à l’Abbaye en fonction des jours saints
ou de passer l’intégralité du triduum pascal en logeant à l’hôtellerie de l’Abbaye pour pleinement vivre la dynamique spirituelle de ces 3 jours en s’appuyant sur la liturgie monastique, les différentes propositions et le silence favorisant l’intériorité.
Vous pouvez alors vous inscrire directement en ligne ou en téléphonant à la sœur hôtelière (04 76 37 75 37)
Télécharger le contenu de la retraite
Session
samedi 8 février 2025 (9 h)
dimanche 9 février (17 h)
Animation : Albert Fachler, président de la Communauté Juive de Savoie
Le sens
Si pour chacun il est clair que le calendrier des fêtes juives puis chrétiennes présente proximité, et ressemblance, si la chronologie les met dans une continuité et si le cadre géographique du monde de la Bible leur est commun, la signification de ces célébrations s’avère procéder de démarches certainement différentes.
Devenues avec le temps témoignages du passé et jalons d’une aventure spirituelle au mieux, rituelle formaliste au pire, on oublie que pour la tradition juive, il s’agit de la rencontre, qui beaucoup plus que d’un rappel d’événements symboliques, nous invite à devenir les témoins du futur, en nous ouvrant au Tiqoun Olam, la réparation du monde
Frais d’animation : 50 € [Tarif adapté pour les étudiants et demandeurs d’emploi]
Possibilité de loger sur place (repas de midi : 14 €).
Les horaires de la session permettent, à ceux qui le veulent, de participer à la liturgie de la communauté des bénédictines.